Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 27 octobre 2005

Le tableau

A LIRE ABSOLUMENT !
 
medium_flamand.jpg

"Avec une maîtrise éblouissante, Arturo Perez-Reverte met les lois de la peinture, les fausses perspectives, les clairs-obscurs, les trompe-l'œil et la logique mathématique des échecs au service d'une intrigue vertigineuse et d'une originalité totale." 

Grand Prix de littérature policière 1993 

"Julia, restauratrice d'oeuvres d'art à Madrid, travaille sur un tableau du XVe siècle représentant deux chevaliers jouant aux échecs. Une expertise révèle, sous la peinture, une phrase en latin pouvant se traduire par "qui a pris le cavalier" ou "qui a tué le chevalier". Avec l'aide d'un antiquaire, d'un joueur d'échecs et d'un historien, son ancien ami, Julia tente de déchiffrer l'énigme du tableau. Pure devinette de spécialistes ? Non, car un mystérieux inconnu reprend la partie d'échecs du tableau de façon bien macabre : les proches de Julia, transformés en pièces du jeu, sont assassinés les uns après les autres... Perez-Reverte, que l'on savait déjà extrêmement doué pour les constructions subtiles, se révèle ici un joueur hors pair. Plusieurs énigmes s'entrecroisent et se répondent : qui a tué le chevalier cinq siècles plus tôt ? Quelle est l'issue de la partie ? Qui est l'assassin actuel ? L'auteur fournit au lecteur les diagrammes de la partie en cours, l'impliquant ainsi dans un jeu qu'il mène de main de maître." Jean-Marc Laherrère sur Amazon.fr

"Sur la toile, peinte il y a cinq qiècles, un seigneur et un chevalier jouent aux échecs, observés depuis le fond par une femme en noir. Détail curieux: le peintre a exécuté ce tableau deux ans après la mort mystérieuse d'un des joueurs et tracé l'inscription "qui a pris le chevalier ?" Tout cela n'éveillerait que des passions de collectionneurs si des morts violentes ne semblaient continuer la partie en suspens sur la toile. Et c'est ainsi que l'histoire, le peinture, la logique mathématique viennent multiplier les dimensions d'une intrigue elle-même aussi vertigineuse que le jeu d'échecs...(4ème de couverture)

 

Les commentaires sont fermés.