NATIONALE 4

Aujourd'hui nous nous déplacions à Chamalières. Nous avions la plus faible équipe de celles que nous avons alignées cette année. En effet c'est la première fois que notre moyenne Elo était en dessous de 1 700. Elle était à 1 656 précisément. En face de nous se trouvait une solide équipe de Chamalières, en tout cas une équipe qui ne méritait pas sa place actuelle au classement. Sa moyenne Elo était de 1 762. Soit 109 points au dessus de la nôtre et le résultat s'en est ressenti. C'est Philippe qui s'incline le premier,

7 B Philippe METOT1400 0 - 1   7 N Pierre Henri LABROSSE 1682

suivi peu après par Aaron.

4 N Aaron GAGUECH 1785 0 - 1  4 B Valentin BARBERIS 1788

Je donne le premier point à notre équipe, suite à une imprécision de mon adversaire, je place une tactique qui gagne un pion puis une pièce.

3 B Philippe BOYADJIS 1846  1 - 0  3 N Denis BIJAOUI 1825

Malheureusement, Jérémy s'incline après avoir eu une pièce d'avance contre un pion.

8 N Jérémy GAUTIER 1350  0 - 1  8 B Floriane DIEULEVEUT 1626

Christophe perd aussi.

6 N Christophe METOT 1499  0 - 1  6 B Jean-Luc ILPIDE 1626

Nous étions alors menés 4 à 1, je pensais que le score pourrait être de 4 à 2 : Gaétan était mieux, Clément était moins bien mais pouvait avoir la nulle et Richard était dans une finale fou contre cavalier.

Effectivement, Clément place une perpèt que son adversaire ne peut qu'accepter sous peine de perdre la partie.

1 B Clément GAUTIER 1865  X - X  1 N Pierre ALARY 1954

Gaétan, après avoir mis une grosse pression à son adversaire, que celui-ci, malgré son Zeitnot, a bien su parer, voit un fantôme et donne sa tour, il abandonne avec beaucoup de regret.

5 B Gaétan REY 1710  0 - 1  5 N Jean-Paul CONCHON 1744

Puis Richard capitule à son tour, après avoir donné son cavalier contre un pion passé, il restait avec 3 pions contre 2 pions et fou mais la position ne tenait plus.

2 N Richard REY 1790  0 - 1  2 B Alexandre VALENTE 1849

Voici donc notre première défaite de l'année, 6 à 1 c'est sévère, mais, sur le papier et sur les échiquiers, elle était logique.

 

Philippe