lundi, 20 novembre 2006
"Ne jouez jamais...
mardi, 14 novembre 2006
Maux
mercredi, 08 novembre 2006
Activité
"La caractéristique la plus importante des positions d’échecs est l’activité des pièces.
C’est absolument fondamental dans toutes les phases du jeu : ouverture, milieux de jeu et particulièrement dans les finales.
La contrainte principale de l’activité des pièces est la structure des pions."
Michael Stean
jeudi, 02 novembre 2006
Conviction
mercredi, 01 novembre 2006
Valorisation
"La valorisation des pièces en cours de partie" 19€90 (septembre 2006)
Chez Bornemann Editions qui publient toujours de très beaux livres pratiques et agréables à consulter.
Les dernières publications des éditions Bornemann :
"Comment jouer le milieu de partie" de Littlewood (septembre 2005)
"Des bases à la srtatégie" de Eade
(juin 2005)
mardi, 31 octobre 2006
Ca presse
Au sommaire du numéro de novembre du mensuel Europe Echecs.
(ça, c'est le numéro d'octobre)
2 jeunes espoirs français mis à la lumière.
Romain Edouard, champion d'Europe des moins de 16 ans et Maxime Vachier-Lagrave, vainqueur du Young Masters.
Les parties commentées du combat "rocambolesque" Kramnik-Topalov.
Le match France-Chine.
Le championnat de Russie.
Le nouvel ELO du 1er octobre 2006.
Si les sites web échiquéens pullulent nos écrans d'odinateurs (et y'en a pour tous les goûts !), si la littérature échiquéenne alourdit nos bibliothèques (et y'en a pour toutes les natures !), si les produits informatiques engraissent nos disques durs (et y'en a pour toutes les machines !)...la presse échiquéenne, elle, reste pauvre, très pauvre, trop pauvre...
Comme sa soeur généraliste, elle se porte mal. Voir les difficultés du quotidien Libération, les faibles ventes des autres journaux et la très mauvaise habitude des jeunes de ne pas lire la presse écrite !
Seulement 2 titres de presse en France : Europe Echecs et la revue "épisodique" et confidentielle de la FFE.
Europe Echecs se lit très souvent avec monotonie.
Bien sûr (on n'a guère le choix !) on est content de découvrir sa revue papier glacé et coloré, dans sa boîte aux lettres. Mais, une fois dedans (pas dans la boîte aux lettres, bien entendu !) on s'ennuie sérieux !
Des parties, des parties et encore des parties commentées : du Fritz traduit en langage humain ?
Le tout parsemé de diagrammes, de diagrammes et encore de diagrammes indigestes ! Et toujours la même rengaine de variantes inaudibles !!
Tout cela manque de vie : avec ses anecdotes, ses petites et grandes histoires, ses rencontres,etc.
Pas de critiques de livres ou de logiciels.
Pas d'histoires de l'Histoire des échecs.
Pas de conseils ou de progression suivie d'exercices.
Pas de polémiques, de débats d'idées.
Au royaume des 64 cases, tout serait-il enchanté ? Calme et volupté ?
Pas de signatures de "vrais" journalistes. (comme celui-là par exemple)
Dommage !
Alors l'avenir se regarderait-il à la vidéo ?
Voir ici...
Pourquoi pas ? Ainsi, on pourrait entendre dire dans les chaumières échiquéennes :
"Qu'est-ce qu'on se loue ce soir ? La variante dragon avec Kasparov ? Ou l'est indienne avec Anand ?"
" Non, celui de Kasparov, je l'ai déjà vu ! Trop triste ! Et puis ça finit toujours mal pour les blancs ! Je verrais bien le dernier épisode de la bogo indienne...avec la belle actrice...là...tu sais Alexandra Kosteniuk, je crois, habillée en sari...avec la musique indienne en fond...le cinéma indien, y'a que ça de vrai...c'est gai et souriant...et les méchants finissent toujours par perdre !"
"D'accord...allons-y pour le bollywwood...prépare les popcorns et installe le bel échiquier du salon sur la table basse..."
Questions Réponses
"Vous ne savez pas comment vous y prendre dans l'ouverture. Réfléchir aux échecs, oui, mais comment ?
Les ouvertures : laquelle jouer et pourquoi ?
Comment bien jouer les finales ?
Comment juger un milieu de partie ?
Quelles décisions prendre et à quel moment ?
Pierre Meinsohn, pédagogue reconnu, répond à toutes les interrogations légitimes de tout joueur d'échecs en 250 questions-réponses.
Questions courtes et réponses développées nous emmènent dans toutes les phases de jeu y compris avec un détour par l'histoire du jeu, le tout dans un style décontracté et pragmatique.
Un excellent livre d'entraînement pour tous niveaux, de l'amateur, de l'entraîneur en passant par le joueur confirmé."
(note de l'éditeur)
Décidément...
la littérature échiquéenne est INEPUISABLE
et pleine de "bonne" (?!) volonté pour nous faire progresser !
dimanche, 29 octobre 2006
Pensée
jeudi, 26 octobre 2006
Sur un plateau
Biographie de l'auteur
Ancien rédacteur en chef (Libération, La Vie), Gérard Desportes est aujourd'hui directeur adjoint du département de Sciences humaines à l'Institut national du cancer (INCA).
Il est l'auteur de La Gauche imaginaire (Grasset, 1999), de L'Adieu au socialisme (Grasset, 2002), et de Les Dessaisis. Voyage en France (Grasset, 2006).
Editeur : Jacob-Duvernet (22 Août 2006)
mercredi, 04 octobre 2006
Le test
jeudi, 31 août 2006
Comme les ...
dimanche, 20 août 2006
Qui est le Maître ?
lundi, 31 juillet 2006
Recyclage
mercredi, 19 juillet 2006
Proverbe indien
mardi, 11 juillet 2006
Dans la valise
IL Y A PLUS D'AVENTURES DANS UN LIVRE QUE DANS TOUTES LES MERS DU MONDE...
Cet été ,
sur mon île déserte
je vais lire...
...pour ceux qui n'ont pas le temps de choisir
...ou qui hésitent au dernier moment
EVASION GARANTIE ! EVASION GARANTIE !
VOUS POUVEZ LIRE CHOISIR LES YEUX FERMES
"De l'avenir faisons table rase"
"Chansons d'amour au lolita's club"
et "entre-temps" , je vais relire "Petite philosophie du joueur d'échecs"
...sans oublier mon échiquier de poche pour "Vendredi"...
...vous pouvez aussi vous nourrir ici...et là...
BONNES P(L)AGES A TOUS !
vendredi, 02 juin 2006
Madame
jeudi, 01 juin 2006
Prise de têtes
"Je n’avais encore jamais eu l’occasion de connaître personnellement un champion du jeu d’échec, et plus je m’efforçais de me représenter à celui-ci, moins j’y parvenais. Comment se figurer un cerveau exclusivement occupé, sa vie durant, d'une surface composée de soixante-quatre cases noires et blanches ? Assurément je connaissais par expérience le mystérieux attrait de ce "jeu royal", le seul entre tous les jeux qui échappe souverainement à la tyrannie du hasard, le seul où l'on ne doive sa victoire qu'à son intelligence ou plutôt à une certaine forme d'intelligence.
Mais n'est-ce pas déjà le limiter injurieusement de l'appeler un jeu ? N'est-ce pas aussi une science, un art, ou quelque chose qui est suspendu entre l'un et l'autre, comme le cercueil de Mahomet entre ciel et terre ? L'origine du jeu d'échecs se perd dans la nuit des temps, et cependant il est toujours nouveau ; sa marche est mécanique, mais elle n'a de résultat que grâce à l'imagination du joueur ; il est étroitement limité dans un espace géométrique fixe, et pourtant ses combinaisons sont illimitées. Il poursuit un développement continuel, mais il reste stérile. C'est une pensée qui ne mène à rien, une mathématique qui n'établit rien, un art qui ne laisse pas d'œuvre, une architecture sans matière ; et il a prouvé néanmoins qu'il était plus durable à sa manière que les livres ou que tout autre monument, ce jeu unique qui appartient à tous les peuples et à tous les temps, et dont personne ne sait quel dieu en fit don à la terre pour tuer l'ennui, pour aiguiser l'esprit et stimuler l'âme. Où commence-t-il, où finit-il ? Un enfant peut en apprendre les règles, un ignorant s’y essayer et y acquérir une maîtrise d’un genre unique, s’il a reçu ce don spécial. La patience et la technique s’y joignent à une vue pénétrante des choses, pour faire des trouvailles comme on en fait en mathématiques, en poésie, en musique."
samedi, 27 mai 2006
Reine
"Pendant quelques minutes Alice demeura sans mot dire, à promener dans toutes les directions son regard sur la contrée qui s'étendait devant elle et qui était vraiment une fort étrange contrée. Un grand nombre de petits ruisseaux la parcouraient d'un bout à l'autre, et le terrain compris entre lesdits ruisseaux était divisé en carrés par un nombre impressionnant de petites haies vertes perpendiculaires aux ruisseaux. "Je vous assure que l'on dirait les cases d'un vaste échiquier ! finit par s'écrier Alice. Il devrait y avoir des pièces en train de se déplacer quelque part là-dessus – et effectivement il y en a ! ajouta-t-elle, ravie, tandis que son cœur se mettait à battre plus vite. C'est une grande partie d'échecs qui est en train de se jouer – à l'échelle du monde entier – si cela est vraiment le monde, voyez-vous bien. Oh ! que c'est amusant ! Comme je voudrais être une de ces pièces-là ! Cela me serait égal d'être un simple Pion, pourvu que je pusse prendre part au jeu... mais, évidemment, j'aimerais mieux encore être une Reine." En prononçant ces mots elle lança un timide regard à la vraie Reine, mais sa compagne se contenta de sourire aimablement et lui dit : "C'est un vœu facile à satisfaire. Vous pouvez être, si vous le désirez, le Pion de la Reine Blanche, car Lily est trop jeune pour jouer. Pour commencer, vous prendrez place dans la seconde case ; et quand vous arriverez à la huitième case, vous serez Reine..."
Lewis Carroll, De l’autre côté du miroir
mardi, 23 mai 2006
Lexique des échecs
jeudi, 11 mai 2006
Chambre 17
"À dix heures trente, elle put enfin entrer dans la chambre 17. Elle se mit au travail, répétant exactement les mêmes gestes que la veille. Mais au moment de passer le balai, elle fit tomber quelque chose derrière elle. Elle se pencha pour le ramasser et vit qu’il s’agissait d’une figurine en bois. Elle se retourna et aperçut un échiquier sur lequel étaient déployées des pièces noires et blanches. Une partie en cours avait été interrompue. Eleni regarda plus attentivement la pièce qu’elle tenait dans sa main. C’était un petit pion noir. Elle hésita et tenta de le remettre à sa place, mais elle ignorait où il se trouvait auparavant. Il y avait des pièces identiques un peu partout. Elle resta là un moment, son pion à la main, fixant l’échiquier, cherchant une logique. Finalement, elle abandonna, posa sa figurine à côté du plateau en bois et finit son ménage. Elle se sentit désolée d’avoir anéanti la partie en route, puis se consola en se persuadant que ce n’était qu’une pièce mineure puisqu’il y en avait beaucoup de semblables. Ce n’était peut-être pas bien important. En sortant, elle composa son petit salut de nuisette en guise d’excuses. La suite de sa journée de travail se déroula sans incident." (extrait)