vendredi, 16 septembre 2005
Nouveaux diplômés
Philippe BOYADJIS et Richard REY
sont maintenant arbitres AF4 (arbitre Fédéral 4) !
BRAVO !
vendredi, 09 septembre 2005
Sacré Arpad
ELO FFE Septembre 2005
(8 joueurs)
Philippe BOYADJIS (senior) 1740
Max HOCHART (senior) 1540
Michel EDARD (senior) 1490
Valentin PROUTEAU (junior) 1440
Johan BOYADJIS (benjamin) 1430
Claude DOUCET (senior) 1420
Christophe JOURDE (senior) 1400
Gaétan REY (petit poussin) 1270
ELO RAPIDE FFE Septembre 2005
(4 joueurs)
Philippe BOYADJIS (senior) 1670
Michel EDARD (senior) 1210
Tristan GUILLOUARD (pupille) 1210
Christophe JOURDE (senior) 1200

Richard, Max, Christophe, Gaétan et Philippe...

Le système de classement des joueurs d'échecs a été mis au point par le physicien américain d'origine hongroise Arpad Elo. Son nom est resté attaché à ce système et l'on parle du classement Elo d'un joueur. Il repose sur l'évaluation de la performance.
Arpad E. Elo (1903-1992)
Prochains classements ...
début janvier 2006 ...
à suivre !
jeudi, 08 septembre 2005
Les Tops
LES TOPS MONDIAUX (Juillet 2005)
Les 100 meilleurs joueurs ...

Les 50 meilleures joueuses ...

Les 20 meilleurs juniors garçons ...
le plus jeune Grand Maître du monde le jeune norvégien de 14 ans Magnus Carlsen
Les 20 meilleurs juniors filles ...

mardi, 06 septembre 2005
"Errare humanum est"
Le combat sur l'échiquier se décide généralement en faveur d'un des joueurs grâce aux fautes de l'autre bien plus qu'au jeu "génial" de l'un des deux adversaires. "Errare humanum est". Personne n'est exempt de faire des fautes. Ainsi, l'un des buts de l'entraînement doit être l'élimination des causes qui provoquent nos erreurs...
vendredi, 02 septembre 2005
Guide 3D

Comme souvent, les anglos-saxons, en matière de littérature pédagogique sont très efficaces.
"The Chess Player's Bible" (titre original), la Bible du joueur d'échecs, est un guide visuel tout en 3D, plaisant à lire. Cet ouvrage semble destiné aux joueurs débutants, enfants et adultes mais les joueurs classés entre 1000 et 1700 ELO pourraient bien le consulter pour vérifier une technique ou identifier un problème.
Les explications sont claires et précises : pas de longs discours ... juste l'essentiel !
Au sommaire : les tableaux de mat, les ouvertures, la tactique, la stratégie, les finales, les pions (un chapître très instructif) ... le tout en 254 pages pour 30 €.
Acteur et champion
Quel célèbre champion du monde a joué dans des courts métrages réalisés par ses amis surréalistes ?

mercredi, 31 août 2005
10 maximes...
mardi, 30 août 2005
Grand maître...
lundi, 29 août 2005
Blitz discours
Une championne à la Une !
Première dame de France, elle porte à merveille des robes (noires), façon «dame de pique de Pouchkine». Supporte moins qu'on lui salope la moquette (blanche) de son deux pièces parisien. Almira Skripchenko balance entre noir et blanc, mais sait que la vérité s'immisce dans les gris. Comme aux échecs, où elle a conservé son titre de championne de France.
Après de courtes nuits passées à préparer les parties ou des insomnies combattues à coups de Trivial Pursuit. Parenthèse peut-être enchantée de la victoire, mais parenthèse désenchantée de la fatigue liée à cent vingt parties et huit mois de voyages par an... Championne d'Europe en 2001 et deux fois quart de finaliste des championnats du monde, Almira, 29 ans, est la seule joueuse professionnelle française. Elle en rit. «Quand je dis que je joue aux échecs, on me répond souvent : "Et à part ça, vous faites quoi comme métier ?"».
Née soviétique, grandie moldave, naturalisée française en 2001, licenciée dans un club allemand, Almira navigue entre bonheur communicatif et humeur ombrageuse. Elle peut dire qu'elle n'est pas dévouée au jeu, dont elle assure n'avoir que deux livres chez elle. Mais la fan du cinéaste Andreï Tarkovski peut dire, aussi : «Les échecs sont une recherche d'absolu, une quête de la vérité, un peu comme une toile de maître.» Toute quête a son prix, mais celle de la perfection est douloureuse. Elle l'avoue : «Aux échecs, la défaite n'est jamais acceptable, tout juste tolérable.» D'où cette peur de l'aspiration fatale, de «l'autodestruction» qu'il faut surmonter, des «pièces qui s'invitent dans vos rêves» et qu'il faut chasser.
Emotions. Elle s'y attelle, souffle-t-elle, avec «cette lueur calme dans les yeux dont parle Bounine», le prix Nobel russe de littérature russe en 1933. Avant de regretter devoir contenir ses émotions dans un sport «où il faut toujours dissimuler» et où «sourire après une victoire tient de la provoc». «On souffre», élude-t-elle, comme quand elle joue trop et que ses migraines ne la lâchent pas pendant des jours.
A ses proches, elle assure gagner sa vie en faisant «le métier le plus dur du monde». Etudiante, elle s'est aussi essayée, en vain, au journalisme. Trop d'envie de puiser le mot juste, de repatouiller ses textes. Trop «le sentiment de se mettre à nu». Almira ne voulait «pas ajouter de la souffrance à la souffrance du jeu d'échecs».
Alors, elle se bat. Un peu pour les vertus du jeu, beaucoup pour elle-même. «Dostoïevski a dit qu'on se lassait toujours de la seule vertu, cite-t-elle en sirotant un Coca. Peut-être est-ce pour cela que j'aime les gens qui ont des blessures.» Des gens qui lui ressemblent. Fantômes. Elle évoque pourtant une «enfance classique». «Classique», la fille unique d'une prof de maths d'origine arménienne et d'un mécano moldave. Son père s'était reconverti dans l'organisation des échecs, sa mère sillonnait les tournois. «Classique», le couple transfère ses ambitions : Almira peut toujours aimer la peinture ou la musique, elle est éduquée pour transposer son goût de l'art dans l'art du goût des échecs. «Classique» aussi les coups, les raclées de son père quand elle perdait des parties, ou n'en gagnait pas assez ? Elle en parle avec des fantômes dans le regard. «Je pensais que j'étais coupable de mal faire.» La violence paternelle ne se reflète pas dans le miroir des soixante-quatre cases. «Mon père n'a pas pu réussir à me dégoûter du jeu.» Le jeu l'a dégoûté de son père : elle ne l'a revu que trois fois depuis dix ans. A quoi rêve-t-on lorsqu'on a 14 ans et que l'empire soviétique s'effondre ? A sortir. Les échecs tiennent à la fois de la prison dorée ou du passeport pour l'évasion. Pour Almira, ce fut les deux. Elle n'a pas «connu le temps de l'insouciance». Forcé, quand on devient championne d'Union soviétique chez les moins de 14 ans. Mais, dans la foulée, elle voyage seule, ses parents n'ont pas les moyens de suivre son ascension. Se réfugie dans «les analystes de l'âme russe», Boulgakov ou Nabokov, mais aussi dans Goethe ou Camus. «Les écrivains qu'on choisit d'aimer s'accordent avec vos désirs.» Les siens convergent vers le titre mondial des moins de 16 ans. Cet âge révolu, elle sort avec Vladimir Kramnik, futur champion du monde d'échecs, l'homme qui fit tomber Kasparov. «Comme par hasard, sourit-elle, la relation de Kramnik avec son père était, elle aussi, furieuse.» Elle parle de ses tourments pour mieux tenter de les conjurer. Rappelle un tournoi à Calcutta, où, terrassée par la pauvreté, elle pleurait tous les jours. «J'aimerais croire que je peux changer le monde à partir de ma propre échelle, l'échiquier...» Chaotique. A commencer par mettre de «l'harmonie» dans le monde si chaotique des échecs. C'est ainsi : Almira Skripchenko tire toujours des plans sur la comète. Petite, elle aurait aimé devenir architecte (façon Frank Lloyd Wright... abandonné par son père).
Elle a 18 ans quand elle rencontre un bâtisseur sur soixante-quatre cases. «Joël Lautier (prodige tricolore de l'époque, ndlr) m'a fait croire qu'il lisait Dostoïevski en russe, rit-elle. Je lui ai parlé de Molière et du Malade imaginaire.» Coup de foudre et exil à Paris deux ans plus tard. La fille qui parle cinq langues et s'avère intarissable sur Lost in Translation de Sofia Coppola , se met au français dix heures par jour et gagne son ticket pour la Sorbonne, où elle décroche un Deug de langues étrangères appliquées. Depuis, elle corrige les fautes d'orthographe de ses amis... «Elle est douée, en tout, dit d'elle Lautier aujourd'hui, dont elle est séparée depuis trois ans. On passait notre temps à nous croiser entre deux avions.» La vie en excès de vitesse...Almira a, par exemple, appris le poker dans un taxi, pour finir 4e lors de son premier tournoi.
Sur un échiquier, elle expédie les coups. Puis elle s'esquive en attendant que l'autre ait joué. «Je déteste attendre.» «Hyperactive». A l'inverse de la Hongroise Judith Polgar, qui squatte le top dix du classement mondial masculin, Almira assure que «les échecs, seuls, ne peuvent remplir» sa vie. «Elle est tellement hyperactive que l'enfermer dans une pièce sans rien pendant un jour la rendrait folle», raconte Lautier.
Elle s'imagine en ambassadrice du jeu, qu'elle veut sortir de sa sous-médiatisation. Elle ne se fait pas de film, même si elle en est boulimique. La nuit est tombée depuis des lustres. Dans son hôtel, elle confie avoir «tremblé pendant des heures» après avoir plongé dans les tumultes de la relation père-enfant du film de Jacques Audiard, De battre mon coeur s'est arrêté.
Le sien bat sur le mode syncope : parfois en souffrance, souvent en pâmoison. Toujours en accéléré.
lundi, 27 juin 2005
Résultats 2ème Open Lempdes
Le vainqueur de l’Open : Ludwig FANTIN
(Echiquier Clermontois)
mardi, 14 juin 2005
Etourdi ?
En 1923, à Mährisch-Ostrau, le célèbre maître viennois Ernest Grünfeld (1893-1962 et sa célèbre défense qui porte son nom 1. d4 Cf6 2.c4 g6 3.Cc3 d5 ) dispute un tournoi. L'hôtel où il loge est situé à trois quarts d'heure de la salle de jeu.
C'est la distance qu'il parcourt à pieds, en pleine nuit, pour arriver (sans douter une seconde et prêt à en découdre contre son futur adversaire) à 5 heures du matin croyant qu'il était 5 heures de l'après-midi !!
jeudi, 09 juin 2005
Elo...Ego...
Mercredi 8 juin, en soirée, les joueurs, les parents de joueurs et les amis de l’Echiquier Lempdais se sont réunis nombreux autour d’un savoureux menu échiquéen : pizza en forme de logo du club, pièces d’échecs en pâte sablée…le tout accompagné de parties blitz et de bonne humeur…
dimanche, 05 juin 2005
Eclairs de génie !
Réti / Tartacover à Vienne en 1910

Une partie éclair entre deux génies des échecs.
1/e4-c6 (défense Caro-Kann)
2/d4-d5
3/Cc3-dxe4
4/Cxe4-Cf6
5/Dd3-e5
6/dxe5-Da5+
7/Fd2-Dxe5
8/0-0-0 ! (extraordinaire ce grand roque offensif ... avec la puissance du couple Fd2-Td1 qui grandit)
...Cxe4 (les noirs tombent dans le piège diabolique...)
9/Dd8+ ! (stupéfiant sacrifice de dame)
...Rxd8
10/Fg5+ (échec double)
...Rc7
11/Fd8 ++ ... Tartacover se fait mater en 11 coups !!
La position finale

vendredi, 03 juin 2005
Chocolat !!
A Amsterdam, en 1956, lors du Tournoi des Candidats (tournoi qualificatif pour prétendre rencontrer le champion du monde en titre), Petrossian, surnommé "le tigre", lors d'une deuxième ronde, dans une position gagnante contre Bronstein, donna sa Dame sans contre-partie, et bien sûr perdit la partie.
Lors du banquet final, les participants eurent comme dessert une portion de tarte glacée décorée d'une énorme Dame en chocolat.

Bronstein qui n'aimait guère le chocolat, donna sa dame à Petrossian.
Kérès déclara à la tablée ... "Il lui rend enfin sa dame !"
mercredi, 01 juin 2005
Le mystérieux oncle Petros...
Oncle Petros ou la conjecture de Goldbach
de Apostolos Doxiadis
Edition Points
Ancien mathématicien célèbre, Pétros, retiré du monde dans une petite maison près d'Athènes, cultive son jardin et joue aux échecs. Renié par sa propre famille qui le considère comme un "vieux fou", il s'est fixé un but inaccessible (impossible ?) : démontrer la conjecture de Goldbach, problème mathématique irrésolu depuis deux siècles...
Mais plus on répète à son jeune neveu (curieux comme un enfant) que cet oncle est bizarre et infréquentable, plus le jeune neveu va s'intéresser à lui. Petit à petit, au fil de belles pages très poétiques, le jeune garçon va tenter d'élucider ce mystère qui entoure ce vieil oncle. Cette enquête passera aussi par l'apprentissage du jeu d'échecs...
Un parcours énigmatique ? Mathématique ? Une quête de l'amitié ?
A déguster sur la plage et sous le parasol pour ceux qui ont su garder au frais un brin de curiosité enfantine ... qui n'est pas toujours un vilain défaut !?
Extrait du livre
"J'intervins, tandis que mon père me foudroyait du regard : Une Caro-Kann ? Qu'est-ce que c'est que ça ?
Notre convive expliqua qu'il s'agissait d'une certaine manoeuvre d'ouverture aux échecs qui devait son nom à ses deux inventeurs, MM. Caro et Kann.
Ainsi, l'oncle Pétros allait de loin en loin dans un club d'échecs de Patissia et y battait régulièrement ses adversaires.
- Ah ! C'est un fameux joueur ! soupira notre invité, admiratif. Si seulement il avait participé aux tournois, il serait sûrement devenu un grand maître...
Mon père changea alors de sujet de conversation.
Je m'étais résolu à en savoir plus long sur le mystère Pétros."
lundi, 30 mai 2005
Pot and Polos !
AVIS A LA POPULATION de l'Echiquier Lemdpais : joueurs, parents de joueurs et amis !
MERCREDI 8 JUIN
A 18H :« apéritif dînatoire » comme on dit dans le beau monde!
Venez avec ce que vous savez faire de mieux question cuisine : échiquier-pizza, Dames en chocolat, Roque-fort, pions-chips, cavalerie de toasts, tours meringuées, etc…
Et plus on est de fous ... plus on rit ...
Nous fournissons la boisson ... c'est royal !
Ce moment de réunion sera l’occasion de parler tranquillement de la saison 2004/2005 qui s’achève doucement et de prévoir dans la joie et la bonne humeur la prochaine à venir !
A 20H : remise des polos de l’Echiquier Lempdais en présence de M. Andriollo, Président du FJEP, de M. Bettenfeld, Vice-Président du Conseil Général du Puy de Dôme et de nombreux reporters qui couvriront l'événement en direct live !
samedi, 21 mai 2005
Petite philosophie...
ALLADAYE René
Prix : 15 € Edition Milan 2005
(notez le "s" manquant à échecs...!! sur la couverture. Sur mon exemplaire, le "s" est réapparu !)
Il serait difficile d’imaginer deux activités plus cérébrales - entendez ennuyeuses ! – que les échecs et la philosophie. Le défi qui anime cette Petite philosophie du joueur d’échecs est de les réunir sous un même étendard : celui de la passion, afin de les rendre accessible et familier à tout un chacun.
"Les échecs me sont devenus, avec les années, un art de vivre : une passion sage qui trace ses allées dans un jardin où la promenade est douce." René Alladaye
Lire l'interview de l'auteur...
Fortement recommandé !
dimanche, 15 mai 2005
Forte tête !
Un soir, au café de la Régence à Paris, une jeune noble vient proposer à Robespierre une partie d'échecs à enjeu. L'inconnue le prévient que l'enjeu ne sera révélé qu'à l'issue de la partie. Robespierre accepte...et perd la partie !
L'enjeu était un ordre de libération pour le comte de Romilly qui devait être guillotiné le lendemain matin !
mercredi, 11 mai 2005
Ils seront beaux nos polos...

MERCI AU FJEP, AU CONSEIL GENERAL, A VALERIE ET A MARTINE !
10 € pour les adultes et 5 € pour les enfants. Veuillez préciser votre taille !
Pour réserver votre polo 100% gagnant ...

thierry.cousteix@wanadoo.fr